dimanche 1 décembre 2013

Vers les fondamentaux ?


Si les bonnes résolutions ne sont, rassurez-vous, que pour le mois prochain, il est toujours préférable de les envisager un peu à l’avance… Et si 2014 était l’occasion de passer du superficiel à l’essentiel ? Et si nous options enfin pour les fondamentaux ?   

« La liberté signifie la responsabilité. C’est pour cette raison que la plupart des gens la craignent » a écrit George Bernard Shaw.  Il est plus facile d’avaler une petite gélule que d’interroger son hygiène de vie. Il est plus confortable de recevoir un massage superficiel qu’une thérapie en profondeur. Il est plus rassurant de se considérer comme victime plutôt que responsable.  

Chacun ne peut partir que de sa situation présente et on ne peut faire le choix d’une autre voie qu’en reconnaissant les travers des stratégies passées. « Celui qui fait ce qu’il a toujours fait obtiendra ce qu’il a toujours obtenu. »

Nous n’avons évidemment pas la responsabilité directe de l’état de notre planète, de l’environnement, des différentes formes de stress ou de pollutions, des injustices et inégalités à travers le monde  – tout cela existait déjà à notre naissance – mais nous avons la responsabilité de leurs impacts sur nos vies et aussi, dans une certaine mesure, de ce que nous allons léguer à nos enfants.

Notre premier devoir en tant qu’adulte est celui de nous protéger. Alors nous pourrons envisager de protéger les autres.  Alors, par notre exemple – parce que nous serons par exemple plus sereins ou en meilleure santé – nous inciteront d’autres personnes à faire de même. On change le monde en se changeant soi-même !

Se protéger n’a évidemment rien à voir avec le repliement sur soi. Refuser toute critique, mauvaise nouvelle, expérience désagréable ou aventure ; vivre dans la crainte du mal-être ou de la maladie, ce n’est pas se protéger mais se liquéfier et tomber dans le « Syndrome de la couche-culotte. » 

Se protéger est fondamental car c’est cette protection qui nous aidera à nous accomplir, à « devenir ce que l’on est » (Nietzsche). Le système nous rend débiles, c'est-à-dire « Faible de constitution physique, qui manque de vigueur ». Physiquement ou intellectuellement, le système nous affaiblit. Nous sommes loin d’exprimer tout notre potentiel : pourquoi l’homme est-il ainsi le seul mammifère à ne pas avoir une espérance de vie correspondant à sa période de croissance multipliée par sept ?  Nous sommes génétiquement programmés pour vivre centenaires mais sommes confrontés à de nombreux obstacles et malentendus…

Le constat posé – il n’est sans doute pas nécessaire de lister tout ce qui nous affecte au quotidien, du stress aux différentes pollutions  – que faire ? Comment protéger notre organisme et optimiser son métabolisme ?  Comment respecter notre nature ?  

Cette question peut nous emmener très loin, trop loin pour un seul édito et nous nous contenterons ce mois-ci des seuls aspects physiologiques (les fondamentaux psychologiques seront abordés ultérieurement): de quoi notre organisme a-t-il besoin pour fonctionner naturellement ?

1. Une respiration de qualité!
La vie ne se prolonge pas au-delà de quelques minutes sans oxygène. Tout manque entraîne un effondrement du métabolisme, une augmentation du dépôt des polluants et toxines et donc une moindre vitalité et résistance en général. Or le problème n’est pas tant la teneur en oxygène de l’air ambiant – autour de 21% – que les différentes pollutions et stress qui entraînent une mauvaise assimilation de l’oxygène par nos cellules, ce que l’on appelle l’hypoxie.

Pistes : Gymnastique douce (Yoga, Qi Gong, Taiji Quan), cohérence cardiaque, purification de l’air via un vrai diffuseur d’huiles essentielles ou, nec plus ultra pour lutter contre l’hypoxie, le Bol d’Air Jacquier®. Voir les sites www.aromatheque.ch ou www.lesateliers.ch
 
Mauvaises idées : le sport intensif ou la respiration d’un air enrichi en oxygène entraînent la création de radicaux libres en excès et donc un vieillissement prématuré de l’organisme ; les encens ou l’utilisation de chaleur avec les HE génèrent de la pollution dans l’atmosphère…
 
 
2. Une eau de qualité (propre et vivante)!
La vie ne se prolonge pas au-delà de quelques jours sans eau. La plupart des maladies chroniques et des douleurs proviennent d’un manque d’eau ou d’une eau de mauvaise qualité selon les normes de la vie et de la vitalité. Les deux facteurs sont d’ailleurs liés, l’organisme rejetant naturellement les eaux du robinet chlorée ou les eaux surchargées de minéraux, une eau dans les deux cas morte et polluée. Ne pas avoir de boire cette eau est logique mais problématique puisque plus de 99% des molécules d’un organisme sont des molécules d’eau !

Pistes : une filtration via osmose inversée couplée – c’est essentiel ! – à un procédé de dynamisation, un revitaliseur performant, une eau de source, un respect et une gratitude renouvelés envers l’eau... Alors l’organisme aura envie de boire ! Voir le site www.eaunaturelle.ch
 
Mauvaises idées : les eaux minérales en bouteilles (les minéraux ne sont pas assimilables), les carafes filtrantes (prolifération microbienne), les systèmes de filtration sans dynamisation (eau trop vide), les solutions du marketing (avis subjectifs), les eaux alcalines (contraires aux normes de la nature),…
 

3. Une nutrition de qualité
La vie ne se prolonge normalement pas au-delà de quelques mois sans nourriture. La qualité de notre alimentation influence également directement notre niveau de santé et de vitalité, la nutrition étant « la première médecine » selon Hippocrate. A l’inverse, la plupart des maladies dites « de civilisation » – des cancers à l’obésité en passant par les allergies – ont une cause alimentaire.

Pistes : les aliments les plus complets, les plus frais et les plus bio possibles ; les aliments de la vitalité (huiles végétales, graines germées, produits de la ruche, germe de blé, levure de bière, algues, fruits et légumes) ; la cuisson douce à l’étouffé pour préserver les vitamines et le goût des aliments; manger moins et notamment moins de viande… Voir le site www.nutriwell.ch

Mauvaises idées : les aliments industriels, les aliments raffinés (sucre, sel, pain blanc,…), les produits laitiers, les produits light, la viande d’élevages concentrationnaires, la cuisson au micro ondes ou à trop haute température, les revêtements de poêles ou casseroles en Teflon®,…
 

4. Un environnement de qualité
Des goûts et des couleurs, nous ne discuteront pas mais plutôt des différentes pollutions susceptibles d’impacter un organisme déjà fragilisé par le non-respect des trois facteurs précédents : les 100 000 substances chimiques relarguées en plus ou moins grosses quantités (dont 3% seulement ont été soumis à des tests d’innocuité !), les ondes électromagnétiques (tél portable, wi-fi, antennes relais, etc.), le bruit ou encore le manque de contact avec la terre pour « décharger » ou au contraire se recharger en énergie.

Pistes : les huiles essentielles en place de la chimie pour l’entretien de la maison, les CMO contre les ondes, marcher pied nus dans l’herbe, se ressourcer au contact de la nature… Voir les sites www.aromatheque.ch et www.protection-ondes.ch
 
Mauvaises idées : les désodorisants chimiques, les produits ménagers non certifiés écologiques, les meubles en agglomérés, les linos et autres sols synthétiques, les appareils électriques dans la chambre, les portables pour les enfants, les oreillettes qui créent un faux sentiment de sécurité,…
 

5. Des soins et traitements respectueux de l'organisme
Ne pouvant respecter à la lettre ce qui précède, le vieillissement étant inévitable, des pathologies se manifesteront. Le choix du traitement sera alors décisif : la petite gélule chimique pour vite passer à autre chose et tant pis pour le système immunitaire ou la voie naturelle pour renforcer son terrain et prévenir les « rechutes » ? Vision pasteurienne d’un côté (les méchants virus et bactéries à détruire à tout prix), vision biologique de l’autre (la maladie comme message de l’organisme) : victime d’un côté, acteur de l’autre : qui sera globalement en meilleure santé ?  

Pistes : les huiles essentielles pour toutes les pathologies du quotidien, des soins cosmétiques labélisés bio pour protéger sa peau, les naturopathes/thérapeutes correctement formés, le repos,… Voir les sites www.aromatheque.ch, www.beautebio.ch et www.lestherapies.ch  

Mauvaises idées : la médecine allopathique sans réflexion, la vaccination à outrance (notamment en bas-âge), les antibiotiques automatiques, la peur de la maladie, les grosses marques de la cosmétique industrielle…

 
Suivre globalement les conseils ci-dessus ne garantira donc pas l’immortalité ni même le paradis mais permettra à l’organisme de se préserver suffisamment pour asseoir une qualité de vie durable. Outre une vitalité retrouvée, vous aurez également satisfaction à préserver la planète (moins de chimie) et votre santé mentale (moins de manipulations). En matière de « bonnes résolutions » de nouvel an, il sera donc difficile de trouver mieux! 

D'ici là, nous vous souhaitons de très belles fêtes de fin d’année !

Frat’airnellement,

Fencienne & Benoît Saint Girons
 
PS : pour ceux qui souhaiteraient dès à présent joindre l’utile à l’agréable tout en évitant les embouteillages et le stress du centre ville, une fiche pdf présente une sélection de « Cadeaux sur les fondamentaux »... pour tous les budgets!

Nouvelles du Front - Décembre 2013


Sur la même longueur d'ondes ?
Le 15 octobre, l'ANSES a rendu public son rapport sur l'effet des ondes électromagnétiques. Et il aura fallu deux ans à cette agence [française] pour nous annoncer que les ondes n'ont pas d'impact sur la santé et qu'il n'est donc pas utile de modifier la législation en vigueur. [...] Mais, dans le même temps, l'ANSES reconnaît que les ondes ont un "effet" sur le corps et recommande tout de même de limiter l'exposition aux ondes, en particulier celles des téléphones mobiles, surtout pour les enfants et les utilisateurs intensifs. En résumé: ne touchons pas aux intérêts commerciaux de la téléphonie mobile, mais protégeons-nous tout de même.
► Les CMO ne soignent pas la schizophrénie des organismes "officiels" mais ils protègent des effets biologiques des ondes, tests et vidéo à l'appui! Voir notre site www.protection-ondes.ch  


Saloperies dans les vaccins
L'adjuvant vaccinal MF59, à l'origine du syndrome de la guerre du Golfe chez de nombreux militaires, est aujourd'hui ajouté à des vaccins contre la grippe. [...] Alors prévenez les adeptes de la vaccinomanie antigrippale. [...] Rappelez-leur que, depuis toujours, la grippe se soigne facilement en 24 à 48 heures avec des remèdes classiques de la naturopathie.
► Et notamment avec les huiles essentielles, voir notre site www.aromatheque.ch  Sur les scandales des vaccins et notamment la propension à terroriser les populations vis-à-vis de risques qui n'en sont pas, voir notre page www.lemendiant.fr/vaccins

 
De l'aluminium dans les laits pour bébés
Des chercheurs anglais ont étudié les laits industriels pour bébés (lait liquide et en poudre) et ils viennent de mettre en évidence que ces préparations contenaient des quantités d'aluminium jusqu'à trois fois supérieures à la norme valable pour l'eau potable (0,2 mg). En moyenne, les auteurs estiment que les bébés nourris au lait industriel ingèrent de 0,1 à 0,3 mg d'aluminium par jour.
► A ce niveau d'aluminium, l'eau du robinet est "potable" mais est-elle buvable ? Voir notre site www.eaunaturelle.ch Quant aux laits industriels - qui ont un triste record de scandales sanitaires ou humanitaires en tout genre - ils n'ont jamais été recommandables... sauf évidemment en qualité biologique et à défaut de lait maternel, le meilleur aliment qui soit pour le nourrisson. 


Fast-Food et obésité
La présence d'un fast-food dans un rayon de 150 mètres d'une école augmente de 5% le taux d'obésité parmi les élèves dudit établissement.
► En mettant les fast-foods à 300 mètres au minimum, les élèves feraient déjà deux fois plus d'exercices physiques! Côté cuisine minceur, la cuisson douce "slow-food" a également de nets avantages sur le fast-food: les aliments aux nutriments préservés sont plus nourrissants et plus goûteux!  Voir notre site www.nutriwell.ch
 
Sources: Pratique de Santé  N°61, Novembre 2013