vendredi 1 novembre 2013

Nouvelles du Front - Novembre 2013


"Votre enfant est ce que vous mangez"
Le suivi pendant cinq ans de plusieurs centaines de familles européennes ayant de jeunes enfants a révélé que le vieil adage "Vous êtes ce que vous mangez" avait un corollaire transgénérationnel: le régime que suit une femme enceinte détermine fortement la qualité des premières années de vie du futur enfant [...] et cela quelque soient les facteurs environnementaux.
► Et cela continuera après la naissance avec ce que ses parents lui prépareront... Voir notre site www.nutriwell.ch pour les conseils de base et les ingrédients à éviter autant que possible.

Le nouveau nom de l'aspartame
Le producteur d'aspartame Ajinomoto rebaptise son édulcorant toxique du nom d'AminoSweet [...] NutraSweet ou AminoSweet, c'est de l'acide aspartique... classé "excitotoxine" [...] qui portent les cellules cérébrales spécifiques à un tel niveau spécifique qu'elles en meurent. [...] L'aspartame et le glutamate sont à l'origine de graves troubles neurologiques chroniques et génèrent de multiples problèmes de santé. Tout le monde devrait savoir que l'aspartame a été placé sur une liste de produits chimiques de guerre biologique par le Pentagone.
► Le coca Light ou Zéro arme de guerre chimique made in USA ? Ce qui est sûr est que la décérébration a commencé depuis des années... et que la majorité des produits light (allégés puisque moins de cerveaux?) sont concernés... 

Fer, viande et radicaux libres
Une récente étude vient de démontrer que le fer contenu dans les produits animaux augmentait la production de radicaux libres alors que le fer contenu dans les produits végétaux a un effet inverse. Ces résultats scientifiques pourraient expliquer pourquoi les grands consommateurs de viande sont plus sujets que les autres à mourir d'accidents cardiovasculaire ou de cancer.
► Voir au sujet de la viande le film La santé dans l'assiette, au cinéma et prochainement  disponible en DVD au Centre. 

Partager pour être moins stressé
Les philosophes de la Grèce antique opposaient déjà le bien-être hédonique, produit d'expériences agréables individuelles, et le bien-être eudaimonique, résultat de l'implication dans une cause généreuse, plus globale. [...] Nos organismes font nettement la différence et la répercutent au niveau cellulaire: alors qu'une attitude eudaimonique génère des messages stimulant la santé, l'hédonisme a l'effet inverse!
► Avec le bien-être, le stress augmente et c'est ce que nous disons depuis un moment, voir notre edito de février 2013: "Être ou ne pas (bien) être". La raison pour laquelle nous préférons parler de santé globale ou de mieux-être...

Centre Oasis, Genève

Sources: Pratique de Santé  N°60, octobre 2013

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