lundi 2 septembre 2013

La rentrée de tous les stress ?


Tout changement de rythme ou de style de vie implique des ajustements plus ou moins douloureux et il est rentré dans nos (mauvaises) habitudes de souvent passer d’un extrême à un autre. En attendant d’acquérir la souplesse nécessaire à de tels grands écarts ou de devenir un adepte de la modération ou de la « Voie du Milieu », voyons quelques différences entre le temps des vacances et celui de la rentrée… ainsi que quelques pistes pour arriver à limiter les tensions :

1. Rythme naturel contre diktat des horaires : sauf à avoir enchaîné les visites au pas de course, les vacances reposent parce que l’on y retrouve – une fois n’est pas coutume – le temps d’avoir le temps. Il arrive même – expérience paranormale s’il en est – de croiser des vacanciers laissant sciemment leur place dans une file d’attente. En vacances, la montre devient presque inutile et le rythme de vie retrouve une corrélation avec celui de la nature.

2. Tranquillité contre CONmunication: sauf à être déjà passé du côté obscur du sans fil – celui du fil à la patte – le temps des vacances correspond généralement à une moindre utilisation du portable. Le « devine où je suis ? » et autres « tu es où ? » laisse en effet la place à une liberté de mouvement et à l’échange de cartes postales, moins frustrants que de tomber sur un répondeur, moins coûteux que le risque de roaming. De même, ce n’est généralement qu’au retour de ses vacances que l’on alimentera son compte Facebook, histoire de documenter la nostalgie du temps où l’on n’avait pas à signaler chacun de ses mouvements.

3. Rien à faire contre tout à reprendre : sauf à avoir emporté des devoirs de vacances – toutes les choses remises à plus tard faute de temps – le véritable luxe des vacances est de se lever en n’ayant rien à faire et de se coucher en n’en ayant fait que la moitié. Inutile je pense de dépeindre le contraste avec le retour. Entre les dossiers et les problèmes qui se sont accumulés, la rentrée scolaire et les inscriptions aux multiples activités, nous revoilà du jour au lendemain sans une minute pour soi !

4. Flexibilité contre obsession de la performance : sauf à viser la rentabilité – caser le maximum de choses dans le minimum de temps – nous n’avons normalement rien à prouver ou à accumuler durant le temps de vos vacances. Nous voilà redevenus un peu plus souple et ouvert aux expériences, presque parfois dans la non-action taoïste. Du coup, les contrariétés – des caprices météo aux embouteillages en passant par les déceptions culinaires ou les abus de tarifs – prennent une moindre importance : avec un vase vidé, il faut bien plus de gouttes pour le faire déborder…

5. Être contre paraître : sauf à fréquenter les lieux branchés de la mode, nous n’avons aucun rôle à jouer durant les vacances sinon celui de touriste, un individu entaché de suffisamment de préjugés et de poncifs pour nous faire bénéficier de circonstances atténuantes et d’un bel espace de liberté et de mouvements. Côtoyant – ou ne côtoyant pas – des personnes que nous ne reverrons probablement jamais et à qui nous ne devons rien – sinon une bienveillance de principe – nous n’avons également rien à prouver. Nous ne sommes plus notre profession en costard-cravate mais un vacancier lambda en short-tongs, heureux anonyme parmi les anonymes…

6. Cuisine contre malbouffe : Sauf à camper sur le parking d’un hypermarché, le temps des vacances offre généralement le loisir de cuisiner (ou de se faire cuisiner) des produits frais et locaux, de découvrir dans tous les cas autre chose que la nourriture industrielle du quotidien. Le slow food a remplacé le fast food.
7. Respiration contre pollutions : Sans idéaliser l’air de la campagne ou minimiser les pollutions des autres grandes villes, le temps des vacances est en bonne partie passé au grand air à s’oxygéner les poumons, les jambes et les neurones, marche et/ou vélo remplaçant alors souvent la voiture et les transports en communs.

8. Liberté de pensée contre influence médiatique : sauf à s’être encombré de technologie, le temps des vacances est normalement synonyme de moins d’écrans et de mauvaises nouvelles. Les cours de la bourse, la crise économique et les tentations publicitaires sont mis entre parenthèses au profit d’une vie tranquille et sereine au jour le jour. Via une moindre influence médiatique, la peur disparaît et l’on se découvre capable de penser et de réfléchir par soi-même…

Profitons de cette excellente disposition du « temps de cerveau disponible » pour voir s’il serait possible de prolonger quelques unes des caractéristiques estivales :

1. Vivre sans montre ? Rares sont les situations dans lesquelles nous avons besoin de connaître l’heure exacte. Ne plus avoir de montre au poignet procure immédiatement un sentiment de légèreté et de moindre dépendance vis-à-vis du système. « Vous avez les horloges, nous avons le temps » disait un vieil Indien à un homme d’affaire blanc…

2. Vivre sans portable ? Il est ici moins question de la nocivité des ondes (voir www.protection-ondes.ch ) que de la préservation de sa tranquillité et de la jouissance du moment présent. Comment être pleinement dans quoi que ce soit lorsque l’on est susceptible d’être dérangé à chaque instant ?

3. Se réserver du temps pour soi ? Puisque le planning de la rentrée est à faire, ménageons-y au moins trois mille six cents secondes par jour rien que pour nous, pour faire ce qui nous plait et uniquement ce qui vous plait, qu’il s’agisse d’exercice physique, de méditation ou d’écriture, quitte à se réveiller un peu plus tôt pour cela. « Réserve une demi-heure chaque jour à la prière, sauf lorsque tu as beaucoup à faire. Dans ce cas, prends une heure » disait Saint François de Sales…

4. Changer de paradigme ? Et si cette rentrée était l’occasion de passer de la vitesse et de l’obsession de la performance à un rythme un peu plus respectueux avec notre nature ? Deux lectures pour nous y aider : le daode jing de laozi sur www.daodejing.fr  ou un ouvrage opportunément intitulé… l’Obsession de la performance sur www.lemendiant.fr 

5. Passer du paraître à l’être ? Plutôt que de paraître, il faudra bien un jour finir par être ce qui requiert d’arriver à respecter sa nature et de dépasser la crainte du « qu’en dira-t-on ».

6. Passer à une alimentation naturelle ? Faire le plein de vitalité serait en effet une bonne stratégie pour affronter les challenges de la rentrée et l’on veillera donc particulièrement à la qualité de son eau, celle-ci devant (notamment) être la moins minéralisée possible. Voir www.nutriwell.ch  et www.eaunaturelle.ch 
7. Faire la chasse aux pollutions ? Pollutions de l’air, de l’eau, problématiques des cosmétiques ou des ondes électromagnétiques, travailler en amont permet de limiter les sources de stress et de préserver sa vitalité. Voir www.aromatheque.ch, www.eaunaturelle.ch, www.beautebio.ch ou www.protection-ondes.ch

8. Cesser d’écouter les news… et supprimer carrément sa TV ? Une mesure extrême, pour terminer, mais qui fait immédiatement accéder dans une autre dimension de temps, de liberté et de maturité. Nous y reviendrons donc dans un prochain édito.
« Le secret du succès, c’est de faire coïncider vocation et vacances » disait Mark Twain, le créateur de Tom Sawyer. Choisir un travail que l’on aime pour ne plus avoir l’impression de travailler serait en effet la stratégie ultime. Avec le risque que les vacances deviennent stressantes ?
Dans une optique plus immédiate de contentement durable, le challenge consiste plutôt à limiter les sources de mouvements, de bruits et de manipulations afin d’arriver à être davantage dans le moment présent, à l’écoute de ses fondamentaux, au contact de sa nature. Ne plus systématiquement vouloir paraître vers l’extérieur (« bien être ») mais être davantage centré vers l’intérieur (« mieux être »), entrer en soi pour dépasser les limites de l’ego, se responsabiliser, se connecter à l’énergie du Monde. Nul besoin d’internet ou de partir en vacances pour cela : quelques soient les circonstances, le mieux être est toujours en soi !
Dans cette perspective, nous vous souhaitons, à toutes et à tous, une très belle rentrée !

Fencienne & Benoît Saint Girons
Centre Oasis 

Nouvelles du Front - Septembre 2013


Des glaçons plus sales que les toilettes
Selon l'analyse en laboratoire, les glaçons de six fast-foods sur dix contiennent beaucoup plus de microbes que l'eau des toilettes. A tel point que les établissements concernés devraient être classés "à risque en matière d'hygiène". (Pratique de Santé N°58, Juillet-Août 2013)
► Que les fast-foods mettent la santé en péril ne devrait pas surprendre mais cette problématique des glaçons interroge aussi sur l'hygiène de tous ces distributeurs d'eau peu ou mal entretenus. Une prolifération bactérienne avait été également notée avec les carafes filtrantes dans le cadre d'une utilisation normale. Voir notre site www.eaunaturelle.ch

Les antibio, c'est reparti!
Après une baisse sensible de la consommation d'antibiotiques (-12,5% entre 2000 et 2012), un rapport  de l'Agence du médicament (ANSM) déplore une tendance à la hausse. Une hausse d'autant moins justifiée qu'elle s'expliquerait par un usage erroné d'antibiotiques contre les maladies virales (comme la grippe). Pendant que l'on prescrit à tout crins ces antibio, les bactéries développent toujours plus de résistance [...] (Pratique de Santé N°58, Juillet-Août 2013)
► Est-il possible que les médecins ignorent encore l'inefficacité des antibiotiques contre les virus ? Auraient-ils un intérêt à affaiblir sciemment les organismes, à augmenter la résistance des bactéries ? Pourquoi ne prescrivent-ils jamais les huiles essentielles, dont le Tea-Tree, anti-infectieux universel ou le Ravintsara, redoutable contre les virus ?  Voir notre site www.aromatheque.ch 

Tous zinzins!
Le DSM ("Diagnostic and Statistical Manuel of Mental Disorders") est le manuel de référence pour diagnostiquer les troubles psychiatriques. Rédigé par l'Association américaine de psychiatrie, il est régulièrement dénoncé pour des conflits d'intérêts. [...] Au menu de cette cinquième édition ? Que du bon: la gourmandise n'est plus un péché mais une maladie psychiatrique (hyperphagie), idem pour le syndrome prémenstruel, les colères infantiles, l'addiction à internet, etc. Grâce à ce rythme soutenu, on est passé de quelques 150 pathologies en 1980 à... 400 aujourd'hui! (Pratique de Santé N°57, Juin 2013)
► Les psychiatres ne font que reprendre la vieille recette des labos: à défaut d'arriver à inventer de nouveaux médicaments sans trop d'effets secondaires, on abaisse le seuil des maladies (diabète, cholestérol,...) ou on en invente de nouvelles!  La vie elle-même deviendra-t-elle bientôt la pathologie ultime ?

Un nouvel adjuvant vaccinal effrayant
Il semble n'y avoir aucune fin à l'arrogance de la science médicale. C'est aujourd'hui la nature du système immunitaire de chaque nouveau-né que le lobby vaccinal a en ligne de mire. [...] Il semble d'ailleurs qu'aucun des adjuvants actuels n'ait jamais été testé. Peu importe, une fois qu'ils sont ajoutés aux vaccins, ils sont considérés comme étant sans danger. [...] Ne laissez jamais vacciner votre bébé - il est parfait et il n'a besoin, Mesdames, que de votre sein! (MD in Pratique de Santé N°56, Mai 2013)
► Les adjuvants sont un problème, la multiplication des valences en est une autre et nous sommes bien placés pour le savoir, notre fils ayant été exclu de sa crèche en France pour cause de non-vaccination alors que le DTP obligatoire n'est plus disponible depuis 2008! Voir le scandale sanitaire des vaccins sur notre page www.lemendiant.fr/vaccins

Cordialement,

Le Centre Oasis