jeudi 1 janvier 2015

Résolution 2015 : « Retrouver mes fondamentaux ! »

« Cette année, je vais me remettre au sport, serai moins en colère, surveillerai ma ligne, trierai mieux mes déchets, arrêterai de fumer, commencerai demain… »

Mais pourquoi donc fêter la nouvelle année en se donnant matière à frustrations, via une malsaine obsession de la performance ? Pour contrebalancer les excès de l’année écoulée ?

Nous avons tous en tête une vision de l’homme ou de la femme idéale que nous pourrions être via quelques bonnes résolutions. En dehors des personnes qui nous poussent au changement dans l’espoir désintéressé de faciliter leur nouvelle année, le système continue de distiller, à longueur d’antenne et d’experts, sa conception de ce qui est bien et de ce qui est mal : « A l’heure actuelle, ce n’est pas encore terrible mais, avec un peu de bonne volonté, vous pourrez tous devenir de bons consommateurs écologistes.  Encore un effort et prenez exemple sur ceux qui y arrivent! »

Les « bonnes résolutions » ne seront pourtant "justes" et "réalistes" que si elles sont véritablement individuelles, ce qui requiert, en premier lieu, de se libérer des manipulations, des ordres de grandeur "plus" ou "moins", des considérations morales "bien" ou "mal"… et du paraître !

La meilleure chose à faire pour se libérer des pressions du système et retrouver une individualité ne serait-il pas ainsi de nous pencher sur nos fondamentaux ? De quoi avons-nous réellement besoin pour être serein et en bonne santé ?

La classique pyramide de Maslow – enseignée dans toutes les écoles de management – liste les besoins par ordre hiérarchique: besoins physiologiques (faim, soif, sexualité, respiration, sommeil, élimination) puis besoins de sécurité (environnement stable et prévisible, sans anxiété ni crise), besoins d'appartenance et d'amour, besoins d'estime et enfin besoins d'accomplissement de soi.

De nombreuses critiques ont été émises concernant cette hiérarchisation par trop rigide de besoins parfois confondus avec de simples désirs : En bande, le désir d’appartenance conduit parfois à des actes dangereux ou nocifs pour la santé, sans parler d’actes criminels qui excluent alors d’office de la société. En entreprise, il n’est pas rare non plus que le "besoin" d’être accepté (et rémunéré à sa juste valeur) passe par une mise entre parenthèses d’un certain nombre de ses valeurs, pour, au bout du compte, déboucher sur un sentiment de mal-être diffus…

La pyramide ne rend pas non plus compte de l’aspect qualitatif des besoins : pour paraître sociable et bien « intégré », je vais suivre mes collègues ou amis dans la voie de la malbouffe du restaurant d’entreprise ou du McDo le midi, dans la beuverie des bars le soir.... Pour réussir dans mes études, gagner plus ou obtenir ma promotion, je vais sacrifier mes heures de sommeil ou ma vie de famille… Pour battre le record, je vais me doper ou multiplier les séances de sport intensif… Pour rester mince ou essayer de perdre du poids et gagner en estime de soi, je vais prendre des boissons et autres produits light bourrés d’aspartame et autres additifs délétères…

Contrairement aux messages du système (et des nutritionnistes), toute nourriture n’est pas acceptable : nos besoins physiologiques requièrent une attention énergétique aux nutriments. Contrairement aux idées reçus, être au courant de tout ne me rend pas plus libre mais plus peureux. A l’opposé des messages publicitaires, faire comme tout le monde ne conduit pas à l’estime mais à la négation de soi.  

Bref, la pyramide de Maslow est intéressante pour initier le débat mais les besoins physiologiques de base devraient au minimum y être qualitativement précisés :

  • Respirer, évidemment, mais pourquoi alors sommes-nous tous plus ou moins en hypoxie, c'est-à-dire en manque d’oxygénation cellulaire ?  Voir www.aromatheque.ch
  •  Boire, cela va de soi, mais une eau morte et polluée apportera-t-elle vraiment la vitalité à un organisme constitué à 99% de molécules d’eau ?  Voir www.eaunaturelle.ch

  •  Manger « cinq fruits et légumes par jour », pourquoi pas, mais quel intérêt si les fruits ont été élevés aux pesticides et les légumes cramés au micro-ondes ?  Voir www.nutriwell.ch
  •  Bien dormir, idéalement, mais comment y arriver et recharger notre organisme si notre chambre à coucher est saturée d’ondes électromagnétiques délétères ?  Voir www.protection-ondes.ch
  •  Se soigner, heureusement, mais comment demeurer en bonne santé avec ces médicaments allopathiques qui affaiblissent toujours le système immunitaire ?  Voir www.lestherapies.ch
  •  Se sentir en sécurité, avec plaisir, mais comment y arriver face aux mauvaises nouvelles et au catastrophisme du monde médiatique ?  Voir www.lemendiant.fr


Et si 2015 était l’occasion de passer des désirs aux besoins ?  Des besoins aux fondamentaux ?  Du quantitatif au qualitatif ?

De quoi ai-je véritablement besoin pour me respecter ?  Du dernier gadget ou d’une eau de qualité ?  De la dernière recette industrielle à l’arôme 100% chimique ou de vrais nutriments ?  D’une appartenance à la dernière mode pour mieux paraître ou d’une réelle affirmation de mon être ?  

Il n’est pas question ici de renoncer aux plaisirs, au superflu ou aux rêves. L’idée, avec les fondamentaux, n’est pas de favoriser la rigidité mais de gagner en flexibilité : si j’ai de l’énergie à revendre, je pourrais plus facilement me permettre d’en perdre !  Si les fondations sont saines, je pourrais plus aisément monter vers les étoiles !

Les fondamentaux « ensemble des éléments permettant de favoriser la santé et la vitalité sur le long terme, dans le respect des autres et de la nature » constituent la première étape vers les autres étages ou niveaux. Comment être bien dans sa tête tout en étant mal dans son corps ?  Comment aller de l’avant sans énergie ?  Comment être créatif sans lumière ? 

Penser et faire différemment, aborder les sujets tabous, remettre en cause les préjugés, se pencher sur ses véritables besoins sont autant de cause de rupture du système.  La sortie de la caverne peut semble périlleuse mais la solitude est désormais exclue car de plus en plus de personnes ont déjà fait le choix d’une autre qualité de vie.  Que vaut en effet la superficielle émotion d’appartenance face au sentiment de s’être retrouvé, d’être enfin véritablement à soi ?

Passer du superficiel à l’essentiel et du paraître à l’être: existe-t-il meilleure résolution pour vivre enfin autre chose ?

C’est dans cette perspective que nous vous souhaitons une joyeuse nouvelle année. Que vos souhaits, projets, challenges, fondamentaux et autres généreuses extravagances se réalisent dans les meilleures conditions possibles !  

Frat’airnellement, 

Le Centre Oasis à Genève

jeudi 13 novembre 2014

Les idées reçues sur la Santé ?



Au cœur de l’été, un magazine faisait sa couverture sur « Les idées reçues sur la Santé ».  A défaut de pouvoir bronzer idiot sans soleil, l’été nous fournissait en effet le temps pour quelques dossiers et analyses de fond…

Encore aurait-il fallu pour cela que les idées ne brillent pas elles aussi par leur absence... Dès les premières lignes,  l’impression d’amateurisme sautait aux yeux : était-ce le travail d’un stagiaire, un dossier ressorti à défaut de croustillant scandale estival, un article vite bâclé par un journaliste pressé de partir et vite non-relu par des collègues déjà partis ?

L’auteur semblait en tout cas s’y connaître en matière d’idées reçues.  Les thématiques retenues – Nutrition, sommeil, sport et allergies – accumulaient les clichés tout en multipliant les révélations. Aussi surprenant que cela puisse paraître, nous apprenions ainsi que boire de l’eau ou manger 5 fruits et légumes par jour était… bon pour la santé !

Selon la définition du journaliste, une idée reçue est une idée dont « aucune étude clinique n’a pu en démontrer la véracité de manière définitive ».  En attendant un dossier sur « Les idées reçues sur la Science »,  rappelons quand même que le définitif est rare en science, que les études cliniques ne sont menées que par ceux qui ont trouvé un financement et que ces financements sont de plus en plus le fait des lobbies  industriels.  Les idées financées par l’industrie seraient-elles plus objectives que les idées reçues (gratuitement) de nos aïeuls ?  Voir notre édito de mars 2013 La bêtise au nom de la science  ou les mésaventures de Benvéniste lorsqu’il a eu le malheur de parler de la mémoire de l’eau… Dans tous les cas, « Il est difficile pour un homme de comprendre une chose si son salaire dépend de ce qu'il ne la comprenne pas » (Upton Sinclair).

Le journaliste semblait pour le coup ne pas avoir compris grand-chose. Faut-il manger de la viande rouge plus d’une fois par semaine ?  « Plus que le nombre de rations, il faudrait plutôt contrôler la quantité hebdomadaire consommée. » répond-il. La qualité de la viande n’a aucune espèce d’importance : c’est la quantité qui compte !  Tant que vous ne dépassez pas les 500 grammes par semaine, vous pouvez manger toute la viande bourrée d’antibiotiques d’animaux stressés et malades cramée au barbecue que vous voulez !  Cette affirmation (payante) contredit le Rapport Campbell, la plus vaste enquête de nutrition jamais menée (en Chine et reprise dans le film La santé dans l’assiette[1]) mais tant pis : les études pratiques de terrain ne vaudront jamais les études théoriques cliniques…

Il aurait été très surprenant de trouver une réflexion sur la qualité de l’eau du robinet dans un magazine grand public.[2] Les idées taboues doivent le rester !  Nous apprenons donc plutôt (autre révélation !) que les sportifs devraient boire plus d’eau que les autres… notamment afin d’augmenter leur apport en magnésium. Cette affirmation contredit le fait que l’homme soit hétérotrophe c'est-à-dire incapable d’assimiler correctement les minéraux des eaux (d’où le scandale des eaux minérales) mais tant pis : la biologie humaine n’a apparemment pas sa place dans les laboratoires industriels…

Il est donc logique qu’ils ignorent également la bio ! A la question « Les aliments bio sont-ils meilleurs pour la santé ? », la réponse apportée est « Faux ! » : « Aucune preuve scientifique ne confirme l’hypothèse selon laquelle le bio serait meilleur pour la santé que les aliments classiques ». Ils seraient même plus dangereux [sic !] puisque « Les fruits et légumes bio, qui ne sont pas traités avec des pesticides, sont plus fragiles et contaminables, ce qui peut favoriser les infections alimentaires. »

La fréquentation des cliniques favoriserait-elle la cécité ?  Suffisamment de livres ont été publiés sur les pesticides pour que l’on ne puisse en nier la nocivité. Or les produits bio sont d’abord bénéfiques pour ce qu’ils permettent d’éviter!  Ainsi, le bio affiche une concentration en cadmium, mercure et plomb près de 50% inférieure, une teneur en azote, nitrates et nitrites respectivement plus faible de 10, 30 et 87% et la présence de pesticides quatre fois moins élevée que les aliments industriels… « Primum non nocere, d’abord ne pas nuire » disait Hippocrate pour lequel la nutrition était « la première médecine ».

Les chiffres ci-dessus – qui concluent également à une teneur en antioxydants supérieure de 18 à 69% dans les produits bio – sont le résultat de l'analyse de 343 études parues dans diverses revues scientifiques. Pas de chance : justement celles que le journaliste n’a pas consulté ! 

La section sommeil est plutôt soporifique et n’interroge évidemment pas les méfaits des somnifères sur la qualité du sommeil – « On ne peut pas dire la vérité, il y a trop de gens qui en prennent » ? [3] – mais plutôt l’influence de la pleine lune…

La section sport remet en cause les étirements qui pourraient « favoriser les risques de blessures » mais peuvent « améliorer la mobilité musculaire et articulaire ». Au jeu du « ni oui ni non », à tout dire et son contraire, on ne prend évidemment aucun risque et surtout pas celui de remettre en cause le sport intensif, qui, en favorisant la surproduction de radicaux libres, a un effet délétère sur la santé…

Terminons sur les allergies avec deux belles affirmations gratuites (sponsorisées par l’industrie?) : le lait maternel ne limite aucunement les allergies tandis que colorants et autres conservateurs n’y sont pour rien.  De là à comprendre que le lait maternel n’est pas supérieur au lait en poudre et que l’on ne risque rien à consommer des additifs alimentaires, il n’y a qu’un pas…  « Attention : nous ne parlions que des allergies !  Le lait a d’autres bienfaits et les additifs peuvent favoriser des intolérances et une hyperactivité chez l’enfant. » 

Trop tard, l’amalgame est fait : à tout mélanger et à raconter n’importe quoi, plus personne ne s’y retrouve et reste tributaire du médecin pour sa santé, des industriels pour son alimentation, des journalistes pour son information…

Le même magazine s’interrogeait, il y a quelques mois, sur les causes du succès de la théorie du complot mais faut-il chercher ces causes ailleurs que dans la désinformation ?  Tant que les journalistes ne feront pas leur travail – à savoir révéler les vérités qui dérangent (les puissants et les industriels) – pourquoi ne pas en effet parler de complot ?  Serait-il plus juste de parler d’imposture ou de couardise ?

Le magazine déplorait plus récemment la perte régulière de lectorat de la presse écrite mais faut-il en chercher la raison ailleurs que dans l’approximation de l’information et le manque de courage des journalistes ?  Où sont passés les dossiers de fond analysant objectivement le pour et le contre, sans parti-pris ou considérations publicitaires ? 

Puisque la vérité sur les fondamentaux ne se trouve apparemment plus dans les médias grand public, il va bien falloir la chercher ailleurs : dans des livres-enquêtes pour faire le point sur un sujet ou encore sur internet où, pour peu que l’on fasse une vraie recherche, on arrivera facilement à tomber sur de vraies « idées reçues sur la santé ». Par exemple :

NUTRITION : Le lait est bon pour la santé / Le pain est un aliment de base / L’aspartame est sans danger / Le petit-déjeuner est le repas le plus important de la journée / Nous avons plus de choix qu’auparavant / « Il faut manger de tout et aucun aliment n’est mauvais en soi » (affirmation de base des nutritionnistes) / Les régimes et le Light permettent de perdre du poids / L’eau du robinet est d’excellente qualité / Les aliments raffinés et le micro-ondes sont des progrès / Les experts en nutrition sont tous indépendants et vous pouvez leur faire confiance…  Voir notamment les sites www.nutriwell.ch et www.eaunaturelle.ch pour répondre « Non ! » à chacune des affirmations précédentes.

SANTE : La médecine allopathique est toujours plus efficace que les thérapies naturelles / Les médicaments sont indispensables pour être en bonne santé / L’espérance de vie s’est allongée grâce à la médecine /  Les maladies chroniques ne sont en rien liées à la chimie ou à la nutrition industrielle / Les huiles essentielles sont très dangereuses / Les vaccins sont un miracle de la science / Les ondes électromagnétiques n’ont aucune incidence sur la santé… Voir notamment les sites www.aromatheque.ch, www.lestherapies.ch et www.protection-ondes.ch pour répondre toujours « Non ! » à chacune des affirmations précédentes.

« Penser, c’est dire non » a écrit le philosophe Alain.  Remettre en cause les idées reçues, battre en brèche les préjugés, requiert avant tout une réflexion personnelle et un soupçon de bon sens. On parle pour les discréditer d’idées de « bonne femme » mais ce sont le plus souvent des idées de « bonne fame », c’est-à-dire de bonne réputation !

La santé est une affaire sérieuse mais il n’y a heureusement pas de fatalité. Des solutions existent en dépit des affirmations de la médecine ou des « experts en expertise ». Les traditions de nos aïeux, moins axées sur le scientisme que sur l’écoute et la compréhension de la nature (humaine), seraient une belle source d’inspiration. Ne vivaient-ils pas globalement en meilleure santé que nous ?

Nous bénéficions des progrès de la chirurgie et de l’hygiène et donc d’une espérance de vie statistique plus longue (moins de décès à la naissance et moins d’épidémies) mais il y avait probablement davantage de centenaires aux siècles passés : moindres pollutions, alimentation frugale et complète, activités physiques au grand air, spiritualité et convivialité dans les villages… La santé s’est dégradée avec la civilisation[4], le confort, le "progrès"… et le manque de repères.  Nos aïeuls ne lisaient-ils donc pas l’Hebdo ?[5]

Frat’airnellement,

LeCentre Oasis 



[1] DVD en prêt gratuit dans le Centre mais qui n’aborde pas non plus la question de la qualité de la viande. Le rapport Campbell est également critiquable du fait de ses biais scientifiques et de ses conclusions extrémistes. Nous sommes omnivores et devons donc manger de la viande mais pas de n’importe quelle qualité et pas n’importe comment !

[2] J’ai informé le magazine ainsi que l’émission A bon entendeur de la TSR des principaux scandales de l’eau en 2013… sans aucune réaction pour le moment. Nous avons bien réussi à placer quelques idées fortes dans un « Cahier spécial eau » mais moyennant une publicité payante !

[3] Pour paraphraser Coluche : « On ne peut pas dire la vérité à la télé, il y a trop de gens qui regardent »

[4] Après avoir fait le tour du monde et rencontré les peuplades les plus diverses, le dentiste américain Weston Price (1870-1948) constata une règle de base : tant que ces peuplades restaient isolées et fidèles à leur régime alimentaire traditionnel, leurs dents étaient superbes. Dès qu’une route était construite et que la civilisation s’installait, la santé des indigènes commençait à s’altérer… (Dr Catherine Kousmine, Soyez bien dans votre assiette jusqu’à 80 ans et plus, Tchou, 1980.)


[5] « Les idées reçues sur la Santé », l’Hebdo N°31, 31 juillet 2014. La qualité et l’attractivité de ce magazine se sont sensiblement dégradées depuis sa nouvelle formule en 2014 mais il demeure selon moi le meilleur magazine de Suisse romande. Reste à espérer que l’article en question soit un accident de parcours qui ne se multipliera pas…  De fait, le magazine a déjà publié la réaction d’un lecteur intitulée « Fausse route sur le bio ». Son rédacteur en chef, contacté par mail en octobre,  n’a par contre pas souhaité commenter cet édito.

Nouvelles du Front - Novembre 2014


Le pire est à venir !
L’Agence européenne des médicaments (EMA) sera bientôt rattachée à la branche « entreprise » de la Commission européenne, sur décision de son tout nouveau président, Jean-Claude Juncker.  Un véritable volte-face par rapport à la décision de son prédécesseur, Manuel Barroso, qui, en 2009, avait tenté de soustraire l’EMA de l’influence des intérêts industriels en lui faisant intégrer la commission santé et consommateurs.*
► Heureusement, en Suisse, Swissmedic n’a aucun lien avec l’industrie pharmaceutique…

Les mensonges qui font grossir !
Après quinze ans de matraquage mensonger et de dégâts avec les yaourts « Activia » et « Actimel », Danone est enfin obligé de retirer sa publicité malhonnête. […] Les bonnes bactéries « actives et vivantes » (dixit Danone) sont les mêmes que celles utilisées depuis longtemps dans les élevages industriels comme activateurs de croissance pour faire grossir rapidement les cochons et les poulets. […] Comment les chercheurs de Didier Raoult ont-ils découvert la relation obésité / yaourts de Danone ? Tout simplement en faisant le bilan de la flore intestinale des obèses […] les obèses étaient saturés de probiotiques… Les mêmes que dans ces maudits yaourts !*
► Une règle de base pour les produits de consommation courante : plus ils passent à la TV et plus vous pouvez être sûr qu’ils sont mauvais !  Il faut bien financer le coût de la publicité par quelque chose…

Quand ce ne sont pas les édulcorants…
L’aspartame, la saccharine et le sucralose, trois des principaux leurres du goût sucré, modifient profondément la composition de la flore intestinale, ce qui se traduit par une élévation régulière de la glycémie au bout de quelque temps d’utilisation continue. […] Autrement dit, la prise quotidienne de ces édulcorants ne favorise rien moins que la résistance à l’insuline, le surpoids, le diabète de type 2 et tous leurs lots de complications cardiovasculaires.*
► Avec plus de 92 symptômes référencés, l’aspartame (E 951) est également, selon Corinne Gouget, « l'additif le plus dangereux et meurtrier au monde! » Voir le site www.nutriwell.ch

Vaccin : L’Etat (Français) condamné
L’été dernier, la cour administrative de Nancy a condamné l’Etat à verser près de 2,4 millions d’euros à une ancienne infirmière psychiatrique ayant déclaré une sclérose en plaques après un vaccin contre l’hépatite B.*
► Une actualité chargée contre les vaccins : pétition lancée par le Professeur Joyeux contre le projet de vaccination des enfants à propos du cancer du col de l’utérus, procès médiatique de la famille Larère qui refuse de vacciner ses enfants, indemnisations liées aux effets secondaires… Jusqu’au Conseil technique de la vaccination qui, en septembre 2014, a préconisé la levée de l’obligation de la vaccination contre Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite (DTP) !  Bientôt la fin des vaccins obligatoires ?  Heureusement qu’il y a le virus d’Ebola et la promesse d’un nouveau miracle (obligatoire) de la science ! Voir www.lemendiant.fr/vaccins/

Portable et santé mentale
En Corée du Sud […] les médecins ont nommé « démence digitale » une pathologie qui atteint les adolescents. […] Trois symptômes majeurs la caractérisent : des troubles de la mémoire, un sous-développement émotionnel et une confusion mentale. Pour Byun Gi-won, docteur au Balance Brain Center de Séoul, l’utilisation abusive des nouvelles technologies empêcherait le développement normal du cerveau chez les adolescents.**
► Tout « abus » entraîne généralement des conséquences mais l’usage des téléphones portables chez les enfants dont les cerveaux sont encore en croissance est toujours contre-indiqué. Voir le site www.protection-ondes.ch

Frat’airnellement,

Le Centre Oasis
www.lemieuxetre.ch



Sources: *Principes de Santé  N°71, Octobre 2014 **Bio info N°28, Novembre 2014
 

dimanche 21 septembre 2014

Le respect des fondamentaux!

« La santé est un état précaire qui ne présage rien de bon » disait le docteur Knock de Jules Romain en 1923 mais la situation s'est encore dégradée depuis. Le business de la maladie tourne à plein régime, le profit des laboratoires pharmaceutique continue d'augmenter en dépit des scandales et les seules campagnes de prévention consistent en des dépistages ou des campagnes de vaccination. Mettre le plus rapidement possible sous perfusion médicamenteuse ou affaiblir encore un peu plus le système immunitaire ? Ce qui est mauvais pour l'organisme sera toujours bon pour les affaires... 

Notre premier devoir en tant qu’adulte serait ainsi de nous libérer. Se libérer de la confusion des messages, des mauvaises nouvelles, de la peur toujours mauvaise conseillère... Se libérer de nos habitudes, de nos préjugés, de nos facilités toujours débilitantes... Se libérer globalement d'une conception de la santé qui considère le malade comme une victime et l'allopathie comme seul remède. « Celui qui fait ce qu’il a toujours fait obtiendra ce qu’il a toujours obtenu » dit un dicton.

Pourquoi l’homme est-il le seul mammifère à ne pas multiplier sa période de croissance par sept ? Pourquoi y avait-il statistiquement plus de centenaires aux  siècles passés ? Pourquoi l'espérance de vie aux Etats-Unis est-elle en train de baisser pour les nouvelles générations ?  Nous sommes génétiquement programmés pour vivre centenaires mais sommes malheureusement confrontés à de nombreux obstacles et malentendus… 

Au constat d'une piètre situation fait donc écho une perspective enthousiasmante: il n'y a pas de fatalité!  La situation n'est pas confortable mais il existe une autre voie!

Après avoir analysé les principales manipulations, le meilleur service que l'homme puisse se rendre est de prendre la décision de se respecter. Nous pouvons faire n’importe quoi et nous manquer continuellement de respect ou bien faire le point sur nos besoins vitaux et décider une fois pour toute de nous respecter.

Quels sont ces besoins vitaux ? 
  • La vie ne se prolonge pas au-delà de quelques minutes sans oxygène. La qualité de notre air et de notre respiration est donc primordiale.
  • Plus de 99% des molécules d’un organisme sont des molécules d’eau. Une eau propre et vivante, chargée d'énergie, ne serait-elle donc pas plus pertinente ?
  • L'homme est hétérotrophe c'est à dire incapable d'assimiler ses minéraux autrement que via les végétaux. Des fruits et légumes de qualité, associés à un système de cuisson respectueux des nutriments apparaît donc préférable...
  • Nos cellules émettent des champs électromagnétiques dans un très large spectre de fréquences. Se protéger des ondes artificielles afin d'éviter les interférence fâcheuses ne serait-il pas du bon sens ?
  • De 60 à 80% de toutes les consultations de médecins généralistes sont liées au stress et donc au mental. Favoriser le lâcher-prise et la sérénité tout en donnant du sens à sa vie permettrait de solutionner beaucoup de choses...
  • Enfin, toute molécule chimique entraînant un affaiblissement du système immunitaire, ne serait-il pas prudent de privilégier en premier lieu les soins au naturel, notamment chez les jeunes enfants ?

Air, Eau, Ondes, Nutrition, Mental et Soins au naturels. Tels sont donc, selon nous, les fondamentaux de la santé et de la vitalité. Les respecter reviendra in fine à se respecter et, dans tous les cas, à mettre toutes les chances de son côté.

Est-ce à dire que je ne tomberai jamais malade ? Non, bien sûr, puisque se respecter suppose aussi de se donner le droit à l’erreur et à l’imperfection mais la maladie, dans l’optique du naturel, sera également respectée : elle ne sera plus considérée comme une tare à vite supprimer mais comme un signal envoyé par un organisme en difficulté. « Le corps fait une maladie pour se guérir » disait Hippocrate, considéré comme le père de la médecine mais en réalité plutôt naturopathe. 
 
C’est dans cette perspective de la "sagesse du corps" et du potentiel de guérison que le respect change vraiment la vie et la santé. C’est parce que le patient se respecte (et donc souhaite se préserver) qu’il fait le choix du naturel. C’est parce qu’il fait le choix du naturel, qu’il se responsabilise et prend sa santé en mains. La relation thérapeute-patient s'établit ainsi sur de bonnes bases entre deux adultes responsables et décidés à aller de l'avant afin d'améliorer durablement les choses: la petit gélule superficielle a fait place à un travail de fonds sur les fondamentaux; le symptomatique à une approche holistique personnalisée, au cœur de l'être et de sa vitalité!

Frat'airnellement,

Le Centre Oasis, Genève

samedi 20 septembre 2014

Nouvelles du Front - Septembre 2014


Quand McDo déconseille ses propres menus à ses employés...
Sur l'intranet de McDonald's aux Etats-Unis, la direction déconseille fortement à ses salariés de consommer leurs propres menus, rappelant que le fast-food contient un taux très élevé de graisses saturées, de sucre, de sel ou de calories. La note ajoute: "garder un équilibre alimentaire n'est pas facile avec le fast-food, parce qu'on ignore comment il est préparé."
► On ignore comment c'est préparé... ou on le sait trop bien et notamment avec quels additifs chimiques, dont le polysorbate 80 (E433)... Voir www.nutriwell.ch Cette histoire me fait aussi penser à ces fabricants de vaccins qui ne vaccinent pas leur famille, suivant en cela l'histoire de Pasteur, jamais vacciné!
 
Anodin le Paracétamol ?
Une étude publiée en juillet aux Etats-Unis démontre que près de la moitié des cas d'insuffisance hépatite étaient liée à l'acétaminophène, molécule que l'on retrouve dans le paracétamol ou le Doliprane. Dans le même temps, une autre étude révélait un risque d'insuffisance aiguë des reins et une troisième des risques de métastases d'un cancer prostatique débutant. Pas mal pour une molécule en vente libre!
Pas mal pour une molécule en vente libre et distribuée au moindre symptôme de fièvre dans la plupart des crèches françaises! Pour le scandale des traitements contre la fièvre, voir notre page sur les vaccins sur le site du Mendiant
Le lait retarde le développement
A l'âge d'un an, la différence de développement est sensible entre buveurs et non buveurs de lait de vache. Plus l'introduction du lait a été précoce et plus les phénomènes de retard, notamment au niveau de la socialisation sont notoires, ceci à cause du manque de fer et de micronutriments indispensables et présent dans le lait maternel.
► Pas grave! Encore quelques années de galère et on mettra ces enfants sous ritalin pour les calmer et ne plus en entendre parler... Mais qu'attendent donc les nourrissons pour se révolter contre cette maltraitance industrielle ? 
Bienvenue en Suisse!
La Suisse a créé à Zurich le premier refuge européen pour les personnes électro-hypersensibles (EHS), permettant enfin aux victimes des ondes de vivre presque normalement en milieu urbain.
► Une coopérative est à l'origine du projet mais le secteur privé devrait bientôt s'y intéresser tant le marché risque d'exploser...  Pour éviter de devoir déménager un jour dans ce type de résidences, débranchez au maximum et équipez-vous de CMO... www.protection-ondes.ch
Manger Bio est plus sain
Une teneur en antioxydants supérieure de 18 à 69%, une concentration en cadmium, mercure et plomb près de 50% inférieure, une teneur en azote, nitrates et nitrites respectivement plus faible de 10, 30 et 87% et la présence de pesticides quatre fois moins élevée. Tels sont les résultats de l'analyse de 343 études parues dans diverses revues scientifiques.
► Tant mieux pour les chiffres mais nous pouvons faire plus simple:  le premier intérêt de la Bio est d'abord de limiter la chimie des préparations industrielles. Pas de noms abscons imprononçables dans la Bio!
Sources: Principes de Santé  N°70, Septembre 2014

Frat'airnellement,

Le Centre Oasis

dimanche 1 décembre 2013

Vers les fondamentaux ?


Si les bonnes résolutions ne sont, rassurez-vous, que pour le mois prochain, il est toujours préférable de les envisager un peu à l’avance… Et si 2014 était l’occasion de passer du superficiel à l’essentiel ? Et si nous options enfin pour les fondamentaux ?   

« La liberté signifie la responsabilité. C’est pour cette raison que la plupart des gens la craignent » a écrit George Bernard Shaw.  Il est plus facile d’avaler une petite gélule que d’interroger son hygiène de vie. Il est plus confortable de recevoir un massage superficiel qu’une thérapie en profondeur. Il est plus rassurant de se considérer comme victime plutôt que responsable.  

Chacun ne peut partir que de sa situation présente et on ne peut faire le choix d’une autre voie qu’en reconnaissant les travers des stratégies passées. « Celui qui fait ce qu’il a toujours fait obtiendra ce qu’il a toujours obtenu. »

Nous n’avons évidemment pas la responsabilité directe de l’état de notre planète, de l’environnement, des différentes formes de stress ou de pollutions, des injustices et inégalités à travers le monde  – tout cela existait déjà à notre naissance – mais nous avons la responsabilité de leurs impacts sur nos vies et aussi, dans une certaine mesure, de ce que nous allons léguer à nos enfants.

Notre premier devoir en tant qu’adulte est celui de nous protéger. Alors nous pourrons envisager de protéger les autres.  Alors, par notre exemple – parce que nous serons par exemple plus sereins ou en meilleure santé – nous inciteront d’autres personnes à faire de même. On change le monde en se changeant soi-même !

Se protéger n’a évidemment rien à voir avec le repliement sur soi. Refuser toute critique, mauvaise nouvelle, expérience désagréable ou aventure ; vivre dans la crainte du mal-être ou de la maladie, ce n’est pas se protéger mais se liquéfier et tomber dans le « Syndrome de la couche-culotte. » 

Se protéger est fondamental car c’est cette protection qui nous aidera à nous accomplir, à « devenir ce que l’on est » (Nietzsche). Le système nous rend débiles, c'est-à-dire « Faible de constitution physique, qui manque de vigueur ». Physiquement ou intellectuellement, le système nous affaiblit. Nous sommes loin d’exprimer tout notre potentiel : pourquoi l’homme est-il ainsi le seul mammifère à ne pas avoir une espérance de vie correspondant à sa période de croissance multipliée par sept ?  Nous sommes génétiquement programmés pour vivre centenaires mais sommes confrontés à de nombreux obstacles et malentendus…

Le constat posé – il n’est sans doute pas nécessaire de lister tout ce qui nous affecte au quotidien, du stress aux différentes pollutions  – que faire ? Comment protéger notre organisme et optimiser son métabolisme ?  Comment respecter notre nature ?  

Cette question peut nous emmener très loin, trop loin pour un seul édito et nous nous contenterons ce mois-ci des seuls aspects physiologiques (les fondamentaux psychologiques seront abordés ultérieurement): de quoi notre organisme a-t-il besoin pour fonctionner naturellement ?

1. Une respiration de qualité!
La vie ne se prolonge pas au-delà de quelques minutes sans oxygène. Tout manque entraîne un effondrement du métabolisme, une augmentation du dépôt des polluants et toxines et donc une moindre vitalité et résistance en général. Or le problème n’est pas tant la teneur en oxygène de l’air ambiant – autour de 21% – que les différentes pollutions et stress qui entraînent une mauvaise assimilation de l’oxygène par nos cellules, ce que l’on appelle l’hypoxie.

Pistes : Gymnastique douce (Yoga, Qi Gong, Taiji Quan), cohérence cardiaque, purification de l’air via un vrai diffuseur d’huiles essentielles ou, nec plus ultra pour lutter contre l’hypoxie, le Bol d’Air Jacquier®. Voir les sites www.aromatheque.ch ou www.lesateliers.ch
 
Mauvaises idées : le sport intensif ou la respiration d’un air enrichi en oxygène entraînent la création de radicaux libres en excès et donc un vieillissement prématuré de l’organisme ; les encens ou l’utilisation de chaleur avec les HE génèrent de la pollution dans l’atmosphère…
 
 
2. Une eau de qualité (propre et vivante)!
La vie ne se prolonge pas au-delà de quelques jours sans eau. La plupart des maladies chroniques et des douleurs proviennent d’un manque d’eau ou d’une eau de mauvaise qualité selon les normes de la vie et de la vitalité. Les deux facteurs sont d’ailleurs liés, l’organisme rejetant naturellement les eaux du robinet chlorée ou les eaux surchargées de minéraux, une eau dans les deux cas morte et polluée. Ne pas avoir de boire cette eau est logique mais problématique puisque plus de 99% des molécules d’un organisme sont des molécules d’eau !

Pistes : une filtration via osmose inversée couplée – c’est essentiel ! – à un procédé de dynamisation, un revitaliseur performant, une eau de source, un respect et une gratitude renouvelés envers l’eau... Alors l’organisme aura envie de boire ! Voir le site www.eaunaturelle.ch
 
Mauvaises idées : les eaux minérales en bouteilles (les minéraux ne sont pas assimilables), les carafes filtrantes (prolifération microbienne), les systèmes de filtration sans dynamisation (eau trop vide), les solutions du marketing (avis subjectifs), les eaux alcalines (contraires aux normes de la nature),…
 

3. Une nutrition de qualité
La vie ne se prolonge normalement pas au-delà de quelques mois sans nourriture. La qualité de notre alimentation influence également directement notre niveau de santé et de vitalité, la nutrition étant « la première médecine » selon Hippocrate. A l’inverse, la plupart des maladies dites « de civilisation » – des cancers à l’obésité en passant par les allergies – ont une cause alimentaire.

Pistes : les aliments les plus complets, les plus frais et les plus bio possibles ; les aliments de la vitalité (huiles végétales, graines germées, produits de la ruche, germe de blé, levure de bière, algues, fruits et légumes) ; la cuisson douce à l’étouffé pour préserver les vitamines et le goût des aliments; manger moins et notamment moins de viande… Voir le site www.nutriwell.ch

Mauvaises idées : les aliments industriels, les aliments raffinés (sucre, sel, pain blanc,…), les produits laitiers, les produits light, la viande d’élevages concentrationnaires, la cuisson au micro ondes ou à trop haute température, les revêtements de poêles ou casseroles en Teflon®,…
 

4. Un environnement de qualité
Des goûts et des couleurs, nous ne discuteront pas mais plutôt des différentes pollutions susceptibles d’impacter un organisme déjà fragilisé par le non-respect des trois facteurs précédents : les 100 000 substances chimiques relarguées en plus ou moins grosses quantités (dont 3% seulement ont été soumis à des tests d’innocuité !), les ondes électromagnétiques (tél portable, wi-fi, antennes relais, etc.), le bruit ou encore le manque de contact avec la terre pour « décharger » ou au contraire se recharger en énergie.

Pistes : les huiles essentielles en place de la chimie pour l’entretien de la maison, les CMO contre les ondes, marcher pied nus dans l’herbe, se ressourcer au contact de la nature… Voir les sites www.aromatheque.ch et www.protection-ondes.ch
 
Mauvaises idées : les désodorisants chimiques, les produits ménagers non certifiés écologiques, les meubles en agglomérés, les linos et autres sols synthétiques, les appareils électriques dans la chambre, les portables pour les enfants, les oreillettes qui créent un faux sentiment de sécurité,…
 

5. Des soins et traitements respectueux de l'organisme
Ne pouvant respecter à la lettre ce qui précède, le vieillissement étant inévitable, des pathologies se manifesteront. Le choix du traitement sera alors décisif : la petite gélule chimique pour vite passer à autre chose et tant pis pour le système immunitaire ou la voie naturelle pour renforcer son terrain et prévenir les « rechutes » ? Vision pasteurienne d’un côté (les méchants virus et bactéries à détruire à tout prix), vision biologique de l’autre (la maladie comme message de l’organisme) : victime d’un côté, acteur de l’autre : qui sera globalement en meilleure santé ?  

Pistes : les huiles essentielles pour toutes les pathologies du quotidien, des soins cosmétiques labélisés bio pour protéger sa peau, les naturopathes/thérapeutes correctement formés, le repos,… Voir les sites www.aromatheque.ch, www.beautebio.ch et www.lestherapies.ch  

Mauvaises idées : la médecine allopathique sans réflexion, la vaccination à outrance (notamment en bas-âge), les antibiotiques automatiques, la peur de la maladie, les grosses marques de la cosmétique industrielle…

 
Suivre globalement les conseils ci-dessus ne garantira donc pas l’immortalité ni même le paradis mais permettra à l’organisme de se préserver suffisamment pour asseoir une qualité de vie durable. Outre une vitalité retrouvée, vous aurez également satisfaction à préserver la planète (moins de chimie) et votre santé mentale (moins de manipulations). En matière de « bonnes résolutions » de nouvel an, il sera donc difficile de trouver mieux! 

D'ici là, nous vous souhaitons de très belles fêtes de fin d’année !

Frat’airnellement,

Fencienne & Benoît Saint Girons
 
PS : pour ceux qui souhaiteraient dès à présent joindre l’utile à l’agréable tout en évitant les embouteillages et le stress du centre ville, une fiche pdf présente une sélection de « Cadeaux sur les fondamentaux »... pour tous les budgets!

Nouvelles du Front - Décembre 2013


Sur la même longueur d'ondes ?
Le 15 octobre, l'ANSES a rendu public son rapport sur l'effet des ondes électromagnétiques. Et il aura fallu deux ans à cette agence [française] pour nous annoncer que les ondes n'ont pas d'impact sur la santé et qu'il n'est donc pas utile de modifier la législation en vigueur. [...] Mais, dans le même temps, l'ANSES reconnaît que les ondes ont un "effet" sur le corps et recommande tout de même de limiter l'exposition aux ondes, en particulier celles des téléphones mobiles, surtout pour les enfants et les utilisateurs intensifs. En résumé: ne touchons pas aux intérêts commerciaux de la téléphonie mobile, mais protégeons-nous tout de même.
► Les CMO ne soignent pas la schizophrénie des organismes "officiels" mais ils protègent des effets biologiques des ondes, tests et vidéo à l'appui! Voir notre site www.protection-ondes.ch  


Saloperies dans les vaccins
L'adjuvant vaccinal MF59, à l'origine du syndrome de la guerre du Golfe chez de nombreux militaires, est aujourd'hui ajouté à des vaccins contre la grippe. [...] Alors prévenez les adeptes de la vaccinomanie antigrippale. [...] Rappelez-leur que, depuis toujours, la grippe se soigne facilement en 24 à 48 heures avec des remèdes classiques de la naturopathie.
► Et notamment avec les huiles essentielles, voir notre site www.aromatheque.ch  Sur les scandales des vaccins et notamment la propension à terroriser les populations vis-à-vis de risques qui n'en sont pas, voir notre page www.lemendiant.fr/vaccins

 
De l'aluminium dans les laits pour bébés
Des chercheurs anglais ont étudié les laits industriels pour bébés (lait liquide et en poudre) et ils viennent de mettre en évidence que ces préparations contenaient des quantités d'aluminium jusqu'à trois fois supérieures à la norme valable pour l'eau potable (0,2 mg). En moyenne, les auteurs estiment que les bébés nourris au lait industriel ingèrent de 0,1 à 0,3 mg d'aluminium par jour.
► A ce niveau d'aluminium, l'eau du robinet est "potable" mais est-elle buvable ? Voir notre site www.eaunaturelle.ch Quant aux laits industriels - qui ont un triste record de scandales sanitaires ou humanitaires en tout genre - ils n'ont jamais été recommandables... sauf évidemment en qualité biologique et à défaut de lait maternel, le meilleur aliment qui soit pour le nourrisson. 


Fast-Food et obésité
La présence d'un fast-food dans un rayon de 150 mètres d'une école augmente de 5% le taux d'obésité parmi les élèves dudit établissement.
► En mettant les fast-foods à 300 mètres au minimum, les élèves feraient déjà deux fois plus d'exercices physiques! Côté cuisine minceur, la cuisson douce "slow-food" a également de nets avantages sur le fast-food: les aliments aux nutriments préservés sont plus nourrissants et plus goûteux!  Voir notre site www.nutriwell.ch
 
Sources: Pratique de Santé  N°61, Novembre 2013